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PrettyLittleThing X CoppaFeel!

En soutien au mois de la sensibilisation pour le cancer du sein, nous nous sommes associés à CoppaFeel, une association qui fait des choses incroyables pour donner à tout le monde les meilleures chances de survivre au cancer du sein. Cette association se bat au quotidien et milite sur tous les fronts afin d’éduquer, d’encourager et de sensibiliser. Avec cette collection exclusive portée fièrement par nos queens, on prône le courage et la body positivity, à l’intérieur comme à l’extérieur. Ces femmes ont chacune eue leurs expériences avec le cancer du sein et sont là pour en parler, haut et fort.

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Rencontrez les

NINA LOPES

Dites-nous tout. Votre diagnostic du cancer du sein, c’était quand ? Comment l’avez-vous appris ?

On m’a diagnostiqué un triple cancer du sein en 2018. J’ai fait une chimiothérapie, une tumorectomie et de la radiothérapie. Mon corps a bien réagi au traitement, je n’avais plus de cellules cancéreuses. Après 18 mois de douleur dans la poitrine et dans la colonne vertébrale, on m’a prescrit des antidouleurs et rassurée sur mon état, j’allais bien. Pourtant, pendant un scanner routinier, on s’aperçoit que mon cancer est revenu. Cette fois-ci incurable. J’attends de commencer la chimio pour traiter la douleur et me donner plus de temps. J’ai encore de longues années devant moi ! Je compte bien en profiter. Mon corps ne me lâchera pas, je dois garder la foi.

Vous étiez bien entourée ? Sinon, comment avez-vous trouvé la force de tenir ?

Mes amis sont extraordinaires. Ils savent me redonner le sourire et m’ont toujours accompagnée en chimio. Ma mère est venue habiter chez moi, elle prend soin de moi, ma fille aussi. Cette fois-ci, j’ai un soutien de tous les instants ! De l’amour et de la force au quotidien. Et le soutien de mes amis, de ma famille, d’autres victimes du cancer et de ma communauté curly hair.

Où trouvez-vous cette force ?

C’est chez ma fille que je la trouve ! Elle est tout pour moi.

Quel est le conseil que vous donneriez à quelqu’un qui vient de se faire diagnostiquer d’un cancer du sein ?

La santé mentale doit rester une priorité. Bien se renseigner, s’éduquer et surtout poser des questions. C’est votre vie, c’est votre corps. C’est à vous de prendre la parole et c’est à vous-même qu’il faut penser.

Quelque chose que tout le monde devrait savoir sur le cancer du sein ?

Le cancer du sein nous touche tous ! Votre corps vous parlera. Ecoutez-le, ne l’ignorez pas. Appelez un docteur et posez des questions, sans tabou !

Le meilleur conseil qu’on puisse donner à quelqu’un qui s’inquiète d’une grosseur à la poitrine ?

Ne l’ignorez pas ! Allez chez le docteur. S’il vous dit que tout va bien mais que vous n’êtes pas rassurée, demandez un scanner. Faites-vous entendre.

Le moment où vous vous sentez la plus belle ?

Quand je souris et que je suis heureuse ! Il n’y a rien de plus beau.

SASHA MILLS

Dites-nous tout. Votre diagnostic du cancer du sein, c’était quand ? Comment l’avez-vous appris ?

J’ai trouvé une grosseur en avril 2020, en plein premier confinement. J’étais en train de me changer un samedi soir et j’ai senti une bosse dans mon sein gauche. C’était de la taille d’une balle de golf. Je suis descendue et j’ai demandé à ma mère de vérifier ce que c’était. Elle m’a incitée à aller chez le docteur au plus vite. Le lundi suivant, j’appelais le docteur pour tout lui dire sur ma grosseur. Elle m’a tout de suite reçue et m’a envoyée vers une clinique spécialisée. Après quelques semaines de rendez-vous et de biopsies, le diagnostic tombe. J’ai un cancer du sein triple négatif. D’abord, la chirurgie de ma mucoviscidose étant un risque majeur de l’associer à une chimiothérapie, elle devait être traitée au plus vite. Par chance, le médicament Kaftrio sort au même moment, j’ai pu être soignée sans frais. Je pouvais donc survivre aux effets secondaires de la chimio, tout espoir n’était pas perdu. La vie d’avant le diagnostic et Kaftrio, j’y pense souvent. Je suis infiniment reconnaissante que ce médicament ait existé à ce moment-là et qu’il ait pu m’aider à surmonter la chimio. Je lui dois ma santé.

Quel traitement avez-vous reçu ?

Une mastectomie, une élimination des ganglions lymphatiques, de la chimiothérapie et des radiations.

Vous étiez bien entourée ? Sinon, comment avez-vous trouvé la force de tenir ?

Après mon diagnostic, j’ai regardé sur Instagram si des gens de mon âge avaient un cancer du sein. J’ai découvert une véritable communauté de femmes qui se soutiennent, membre d’un club dont personne ne veut faire partie.

Où trouvez-vous cette force ?

Mon premier réflexe, c’est le seul que je connais : le mode survie. Je suis née avec la mucoviscidose, j’ai traversé des traitements depuis toujours et me battre pour rester en vie, c’est tout ce que j’ai toujours connu.

Quel est le conseil que vous donneriez à quelqu’un qui vient de se faire diagnostiquer d’un cancer du sein ?

Rencontrer des femmes qui traversaient la même chose que moi, ça a tout changé. Se comprendre, s’entraider et partager ses expériences, c’est se faire des amies pour la vie. Être patiente avec son corps, aussi. La guérison est lente mais progressive. On y arrive, vous y arriverez.

Quelque chose que tout le monde devrait savoir sur le cancer du sein ?

Si vous avez des antécédents dans la famille, demandez à votre médecin traitant des informations. Certains gènes donnent plus de chance d’être touché et des solutions préventives peuvent être mises en œuvre. Rapidement !

Le meilleur conseil qu’on puisse donner à quelqu’un qui s’inquiète d’une grosseur à la poitrine ?

Allez chez le docteur. Le plus vite possible. Aucun risque n’est bon à prendre.

Le moment où vous vous sentez la plus belle ?

Je me sens belle quand je suis heureuse.

DELLASIE AVORKLIYAH

Dites-nous tout. Votre diagnostic du cancer du sein, c’était quand ? Comment l’avez-vous appris ?

J’ai été diagnostiquée en mai 2019. Je regardais une émission à la télé, des célébrités partageaient leurs expériences personnelles avec le cancer. Elles parlaient de l’importance de se sensibiliser et de s’examiner, des techniques pour le faire correctement soi-même. Avant de me faire examiner, je pensais être trop jeune. Jamais je n’y avais pensé. Après l’émission, je me suis examinée sous la douche et j’ai trouvé une grosseur. J’ai appelé les urgences, c’était un dimanche. J’ai pu être examinée ce même jour et j’avais rendez-vous avec une équipe de spécialistes la semaine suivante. Plusieurs biopsies et deux semaines plus tard, les résultats tombent. J’y vais seule, convaincue que c’est forcément négatif. J’avais tort. J’avais le cancer du sein dit triple positif HER2.

Quel traitement avez-vous reçu ?

De la chimiothérapie, de la radiothérapie, de la tumorectomie et de la thérapie plus ciblée.

Vous étiez bien entourée ? Sinon, comment avez-vous trouvé la force de tenir ?

J’ai été chanceuse, mes amis et ma famille m’ont soutenue tout le long. Parfois, je voulais partager mon expérience avec des femmes qui me comprenaient, qui traversaient la même chose au même âge. C’était difficile à trouver, et assez solitaire. Aujourd’hui, je suis en rémission. J’ai pu rencontrer, ces dernières années, des gens extraordinaires, des communautés soudées et des associations qui soutiennent des femmes comme moi, tous les jours. J’en suis extrêmement reconnaissante.

Où trouvez-vous cette force ?

Ma foi. Au plus bas, j’ai prié. J’ai prié pour la paix, pour qu’on me redonne du courage, pour qu’on m’aide à traverser cette folie. Voir grandir mon fils, c’était ma motivation. Je voulais être brave et courageuse pour lui. Il est tout pour moi.

Quel est le conseil que vous donneriez à quelqu’un qui vient de se faire diagnostiquer d’un cancer du sein ?

Prendre soin de soi, s’écouter et ne jamais craindre de demander de l’aide. Et surtout, ne pas abuser des recherches Google frénétiques. Je sais, c’est facile à dire, c’est très tentant de vouloir tout savoir mais toute information n’est pas véridique. Le gros risque, c’est de tomber dans une angoisse qui n’est pas nécessaire. Chacun a son parcours, toutes les questions n’ont pas les mêmes réponses.

Quelque chose que tout le monde devrait savoir sur le cancer du sein ?

Le cancer du sein touche tout le monde et à tout moment. Il ne discrimine pas, il n’épargne aucun statut social et aucune origine. Il faut s’examiner.

Le meilleur conseil qu’on puisse donner à quelqu’un qui s’inquiète d’une grosseur à la poitrine ?

Prévenez votre médecin traitant. Si vous ne parvenez pas à prendre un rendez-vous ou s’il ne vous prend pas au sérieux, allez directement à l’hôpital. Ne prenez aucun risque.

Le moment où vous vous sentez la plus belle ?

Quand je me regarde dans le miroir, je vois l’histoire que mon corps raconte. J’ai beaucoup souffert d’un manque de confiance en moi, et ce pendant des années. Traverser ce cancer ensemble nous a rapproché. C’est là que j’y vois sa beauté.

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CASSIE SHUTTLEWORTH

Dites-nous tout. Votre diagnostic du cancer du sein, c’était quand ? Comment l’avez-vous appris ?

J’ai été diagnostiquée à 32 ans. J’ai trouvé une grosseur dans mon sein, à peine plus gros qu’un haricot rouge. Je ne m’en suis pas trop soucié pendant quelques mois, pensant que c’était simplement hormonal (assez habituel sur ma poitrine). En le voyant grossir, j’ai décidé d’aller chez mon médecin. Elle m’envoya dans une clinique spécialisée mais ne s’en inquiétait pas trop, vu mon âge, c’était probablement un kyste. Pendant ma consultation, après une mammographie et un scanner, le diagnostic tombe. Ils sont pratiquement sûrs que c’est un cancer, il ne manque qu’une dernière biopsie. Quelques instants plus tard, c’est confirmé.

Quel traitement avez-vous reçu ?

J’ai subi une chimiothérapie, une radiothérapie, une chirurgie réparatrice, un an d’injections et je prends des médicaments qui me sont prescrits pour 10 ans.

Vous étiez bien entourée ? Sinon, comment avez-vous trouvé la force de tenir ?

Le cancer, c’est très solitaire. Heureusement, j’ai été très bien entourée. Une communauté sur Instagram qui traversait la même chose que moi m’a guidée et m’a beaucoup renseignée sur cette maladie qu’on partageait. L’association CoppaFeel ! a su me sensibiliser également et m’a aidé psychologiquement, émotionnellement et même financièrement. Une association avait son centre près de l’hôpital où j’ai été traitée, j’y ai rencontré des gens incroyables dans un espace partagé de gens qui me comprenaient.

Où trouvez-vous cette force ?

C’est une question un peu difficile je trouve ! On n’a pas vraiment le choix, qu’on le veuille ou non, la vie change du jour au lendemain. L’instinct de survie prend le dessus et la vie doit continuer, coûte que coûte.

Le meilleur conseil qu’on puisse donner à quelqu’un qui s’inquiète d’une grosseur à la poitrine ?

De prendre soin de soi. La vie change du jour au lendemain, le corps change aussi et tout ce qui va avec. Faire de soi une priorité, c’est ultra-important. Aussi, ne pas avoir peur de demander de l’aide ! Le courage, c’est bien, mais être humain c’est aussi accepter d’être faillible.

Quelque chose que tout le monde devrait savoir sur le cancer du sein ?

Je peux vous donner deux infos ? 1 - Le plus tôt vous savez que vous l’avez, le mieux c’est ! La prévention sauve des vies. 2- Le cancer ne disparaît vraiment jamais, il faut se tenir préparé à toute éventualité, prendre correctement ses médicaments et rester patient avec son corps. L’anxiété et la dépression sont aussi très communs. Il ne faut pas croire qu’une fois guéri, la vie redevient la même. Il y’a un avant et un après.

Le meilleur conseil qu’on puisse donner à quelqu’un qui s’inquiète d’une grosseur à la poitrine ?

Se faire examiner ! Vous connaissez votre corps comme personne, faites-lui confiance. Ce n’est pas gaspiller son temps ou jouer les difficiles que de réclamer des réponses. C’est votre tranquillité et surtout c’est votre droit.

Le moment où vous vous sentez la plus belle ?

Je me sens belle quand je prends du temps à me préparer, quand je mets mon outfit préféré. Je me sens en confiance et prête à conquérir le monde.

CHARLOTTE DUDENEY

Dites-nous tout. Votre diagnostic du cancer du sein, c’était quand ? Comment l’avez-vous appris ?

J’ai été diagnostiquée d’un cancer du sein au stage 2A le 9 novembre 2020 à l’âge de 26 ans. J’étais aux Etats-Unis à l’époque, je voyageais avec mon mari. J’étais sous la douche quand j’ai senti une grosseur dans mon sein droit, c’était en fin septembre. Je connais mon corps, j’ai su à cet instant que quelque chose n’allait pas. 36 heures plus tard, j’étais à l’hôpital, déterminée à obtenir des réponses. Deux docteurs, en voyant mon âge, m’ont immédiatement rassurée : c’était forcément bénin. Ils m’ont envoyé vers une clinique spécialisée, qui a refusé de me voir avant deux mois, mon jeune âge ne faisant pas de moi quelqu’un de prioritaire. Persuadée que quelque chose n’allait pas, j’ai continué de voir des docteurs. L’un d’eux a finalement accepté d’analyser la grosseur. Quelques jours plus tard, elle m’appela pour m’annoncer que c’était un cancer. Je suis rentrée en Angleterre en urgence.

Quel traitement avez-vous reçu ?

Au début, beaucoup de tests et d’analyses pour déterminer si le cancer s’était répandu. Heureusement, il était concentré sur mon sein droit et nulle part ailleurs. Depuis, j’ai subi des traitements pour la fertilité, une chimiothérapie, une mastectomie du côté droit et une reconstruction chirurgicale. Je vais commencer bientôt la radiothérapie. Il me restera une année de traitement pour éviter que le cancer revienne et 10 ans de traitements hormonaux puisque mes hormones sont à l’origine dudit cancer.

Vous étiez bien entourée ? Sinon, comment avez-vous trouvé la force de tenir ?

En toute honnêteté, je me sens extrêmement chanceuse d’avoir une famille si soudée et des amis si aimants. Ils m’ont soutenu pendant mes chimios, pendant toutes mes consultations, m’ont nourri/nourrie quand j’étais trop faible pour sortir du lit. Garder un semblant de normalité en sortant dîner avec mes copines et en faisant des week-ends en amoureux avec mon mari, quand je m’en sentais la force. Ça m’a boostée, je dois l’avouer. Sans oublier bien sûr l’incroyable communauté de patients avec qui j’ai pu échanger et partager ! Des jeunes femmes qui, comme moi, ont traversé cette épreuve. C’est une connexion instantanée.

Où trouvez-vous cette force ?

On me pose souvent la question et c’est assez difficile d’y répondre. Avant, quand je voyais quelqu’un de malade je me disais tout de suite « wow, quel courage, j’en serai incapable » mais quand ça vous tombe dessus, l’instinct de survie prend toute la place. Vous n’avez pas d’autres choix que de rester fort. Je suis quelqu’un de positif mais je n’ai pas honte d’avouer que j’ai été terrifiée à l’idée de mourir. J’ai été douce avec moi-même comme je l’ai pu, je suis restée patiente sans me mettre de pression. Se concentrer sur le positif, c’est une leçon que je vais garder à vie !

Le meilleur conseil qu’on puisse donner à quelqu’un qui s’inquiète d’une grosseur à la poitrine ?

Tout ira bien, même quand tout a l’air de s’effondrer. Les conseils sont bien beaux, même si bien intentionnés, ce qui compte c’est de s’écouter. Il n’y a pas de bonne ou de mauvaise méthode quand on doit gérer un diagnostic pareil. Il faut prendre un jour après l’autre, aller aux rendez-vous, pleurer quand ça fait mal. C’est un moment difficile à passer, c’est humain de se laisser aller.

Quelque chose que tout le monde devrait savoir sur le cancer du sein ?

Personne n’est à l’abri ! Le cancer du sein touche toutes les femmes, même celles de moins de 30 ans. Peu importe que vous soyez sportive, végane, croyante, jeune, riche, célèbre ou que vous ne connaissiez personne de touchée, vous pouvez tout de même croiser son chemin. Je ne veux pas faire peur, c’est simplement la réalité. Je l’ai vécue, je n’avais aucun antécédent, aucun problème de santé. Pensez à vous examiner, c’est vital !

Le moment où vous vous sentez la plus belle ?

Quand je me regarde dans le miroir, je vois l’histoire que mon corps raconte. J’ai beaucoup souffert d’un manque de confiance en moi, et ce pendant des années. Traverser ce cancer ensemble nous a rapproché. C’est là que j’y vois sa beauté.

LIZZI ENGLAND

Dites-nous tout. Votre diagnostic du cancer du sein, c’était quand ? Comment l’avez-vous appris ?

On m’a diagnostiqué un cancer du sein primaire à l’âge de 29 ans. A cette époque, j’étais enceinte de 15 semaines et je venais de trouver une grosseur dans mon sein droit. En raison de mon jeune âge, mon médecin traitant avait jugé la grosseur bénigne, probablement due à des changements hormonaux causés par ma grossesse. J’étais « trop jeune » selon lui. Sous ses conseils, j’ai poursuivi un traitement classique, car aucune preuve de maladie grave. Le lendemain de mon 31ème anniversaire, j’ai été finalement diagnostiquée d’un cancer du sein au stade 4, c’est-à-dire incurable. Je vis aujourd’hui avec un cancer du sein dit secondaire, qui s’est répandu dans mes os.

Quel traitement avez-vous reçu ?

J’ai subi une mastectomie d’un côté, j’ai dû faire une chimiothérapie, une radiothérapie et ce qu’on appelle une élimination des ganglions lymphatiques. Je reçois aujourd’hui des traitements palliatifs. Aujourd’hui, mon cancer n’est pas en voie de guérison. Il s’agit juste de gagner du temps.

Vous étiez bien entourée ? Sinon, comment avez-vous trouvé la force de tenir ?

Mes amis et ma famille ont été d’une aide incroyable. Mon fiancé a été génial et mes enfants sont loin de se douter à quel point leur soutien m’a tenu la tête hors de l’eau. J’ai trouvé de la force sur des forums de soutien, grâce à une communauté de femmes qui me comprenaient, qui vivaient la même chose. On a traversé ça ensemble !

Où trouvez-vous cette force ?

Je la puise dans l’espoir. L’espoir que j’ai pour des lendemains plus heureux, plus positifs. Si j’ai demain, j’ai tout. Voir mes enfants grandir, c’est mon moteur.

Quel est le conseil que vous donneriez à quelqu’un qui vient de se faire diagnostiquer d’un cancer du sein ?

Le meilleur conseil que je puisse donner, c’est de faire son possible. De se laisser aller à se sentir mal, à se sentir triste. Le courage n’est pas obligatoire et ne doit pas être forcé. Après tout, le corps sait s’exprimer quand ça ne va pas. S’écouter, c’est la clé.

Quelque chose que tout le monde devrait savoir sur le cancer du sein ?

Le cancer du sein secondaire est très peu connu et il devrait y’avoir plus d’informations à son sujet ! Il touche les jeunes femmes et peu de personnes le connaissent.

Le meilleur conseil qu’on puisse donner à quelqu’un qui s’inquiète d’une grosseur à la poitrine ?

SE FAIRE EXAMINER AU PLUS VITE ! Le corps ne ment pas. N’ignorez pas les signaux.

Le moment où vous vous sentez la plus belle ?

Sans maquillage, au soleil, entourée des gens que j’aime.

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